S'engager pour votre sérénité
+33 (0)1 46 04 52 77

Reconfinement : les managers sous pression sont à nouveau sur le pied de guerre

Posté par : Capucine Vial
Catégorie : Actualités, Actualités

Patrick Abadie, Président de Delville Management, s’exprime dans un article du Figaro « Reconfinement : les managers sous pression sont à nouveau sur le pied de guerre »

Gouverner, c’est prévoir. Les entreprises n’ont pas attendu les supputations des derniers jours pour se mettre en ordre de bataille en prévision d’un reconfinement . Beaucoup se disent parées à affronter la vague à l’instar de Delville Management, cabinet de management de transition basé à Paris et qui emploie une trentaine de personnes. «Nous sommes prêts à nous redéployer à 100% en distanciel dans les meilleurs délais , explique son président fondateur, Patrick Abadie. Nous sommes d’autant plus sereins que chacun a eu le temps de prendre ses marques et de s’adapter lors de la première vague.» En attendant, les règles au sein de l’entreprise n’ont pas changé depuis le déconfinement. Depuis le mois de mai, par prudence et pour éviter trop de promiscuité dans les locaux, les salariés de Delville Management s’inscrivent en ligne pour indiquer leur présence au bureau deux jours par semaine. Les trois autres jours, ils sont en télétravail.

Chez un géant comme EDF, l’heure est déjà au reconfinement dans certains cas. Dans l es zones dites de «couvre-feu» , le groupe indique que tous les salariés dont l’activité le permet ne se rendent plus sur leur lieu de travail qu’un seul jour par semaine. «Ces mesures évoluent selon les exigences fixées par les pouvoirs publics» , précise le groupe. Depuis le début de la crise, EDF affine sans arrêt son adaptation à la nouvelle donne. Et de rappeler que ses 3000 conseillers clients ont été équipés en un temps record pour télétravailler alors que ce métier n’était initialement pas éligible au travail à distance. Pour les centrales nucléaires, l’entreprise peut opérer en toute sûreté avec 25% de l’effectif absent en même temps pendant douze semaines, idem avec 40% de l’effectif absent pendant un pic de l’épidémie qui peut durer de deux à trois semaines.

Découvrez l’intégralité de l’article de presse dans le Figaro en cliquant ici